Jour1 - Question :
Quelle est votre vision personnelle du progrès ?
Pour cette
question, je crois que le fait que je réponde un peu plus tard dans le cours
(soit après la première semaine, où un tiers du cours est déjà passé), je biaise
un peu ma perception personnelle, car je peux m’inspirer un peu des dires de
Mathieu Roy et Hélène Tremblay.
Premièrement, les questions à se poser sont : Qu’est-ce que le progrès? D’où
vient le progrès? Comment est-ce qu’on s’est rendu à la société, l’avancement
technologique et la vie d’aujourd’hui? Pourquoi sommes-nous rendus à ceci ? (Un
peu comme Simon avait écrit le 3 mai). Évidemment, plusieurs questionnements se
soulèvent en réfléchissant à ces idées.
Pour moi,
quand je pense au progrès je pense au terme avancement. L’avancement sociétal, économique,
technologique, scientifique et ainsi de suite.
C’est un changement qui fait en sorte que nos sociétés se modifient,
évoluent et se transforment. Pour moi,
le progrès devrait être quelque chose de positif, qui aide à notre société à
mieux gérer et mieux entreprendre le futur de notre planète et nos collectivités. Par contre, on peut voir que le chemin du
progrès n’a certainement pas pris la même tournure que ma vision
personnelle.
L’être
humain s’est centré sur l'avancement économique, technologique et scientifique
(qui regarde au bien-être des plus riches, au détriment de ceux qui souffrent
le plus certainement! ; et sans dénier des bienfaits de ces avancements). En se faisant, ceci fait en sorte que la
société dévalorise le progrès environnemental et social, qui cherche le
bien-être du plus grand nombre. Qu’est-ce
qui est mis en valeur en société, c’est l’argent, le pouvoir et le profit.
Comme Stéphane
avait écrit le 30 avril :
« Le
progrès n'est pas la cause de la situation néfaste qu'on voit sur la planète. La cause c'est l'égoïsme de l'homme ».
De plus, quand
on pense que le progrès est dirigé par les plus grandes corporations du monde,
c’est inquiétant. Ceci dit, pour moi, le
progrès ne représente plus nécessairement quelque chose de positif. Plutôt, ce terme signifie un besoin pour le
changement, et un glissement de valeur plus collectif qu’individualiste. On a besoin d'une libération des valeurs axées
sur le progrès qui encombre la durabilité de notre seul habitat, la terre.
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